Un commentaire

  1. Oui, c’est toujours sympa, ce genre de paradoxe…
    Il me semble qu’en jouant sur la non-réciprocité de l’implication, certaines sont déjouables. Ex. : pour pinocchio, il faut admettre que mentir soit la seule cause de croissance du nez pour que le paradoxe en soit un ; en l’occurrence, on imagine mal le nez grandit pour une autre raison, donc c’est bon.

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