How cybersecurity is playing a role in global geopolitics – ProtonMail case

Global context – Why cybersecurity is more important than ever?

Terrorism, with its footprint in global scale from 9/11 in New York to ISIS Paris attacks, has put security the top issue of governments worldwide. The Paris attacker’s final text message claiming the start of the attacks, which was founded in the phone dumped near to the attacked place, is a strong argument for strengthening cybersecurity and building up national surveillance.
However, the pervasive secret surveillance programs have given rise to the debate on privacy and the legitimacy of such programs to allow governments to collect private data of citizens, as well as foreigners in some cases, who are not suspected of any connection to terrorism or any wrongdoing. PRISM, the top classified program, is the largest surveillance initiated by the President Bush after 9/11. The whistleblower, Edward Snowden, who was a former NSA (National Security Agency) contractor, has risked his career and life to challenge the privacy as one of the fundamental human rights in the digital age. He revealed that the NSA was not only scanning suspicious Americans, but virtually everyone that was communicating on the network.

It’s been nearly three months since Edward Snowden started telling the world about the National Security Agency’s mass surveillance of global communications. But the latest disclosures, by the Guardian, New York Times, and ProPublica are perhaps the most profound yet: the N.S.A. and its partner agency in the United Kingdom, the Government Communications Headquarters, possess significant capabilities to circumvent widely used encryption software in order to access private data. (The New Yorker: How the N.S.A. Cracked the web)

Email, as one of the most important communications channel, has gained a lot of attention in the US presidential campaign in 2017. Especially, the Clinton’s email scandal and Wikileaks about her emails have accelerated the debates about security and privacy. Yet, regardless of the scandal, both Clinton and Trump stated in the campaign that cybersecurity would be top issue to address in their presidential agenda: how to work with tech companies to protect cross-border data flow without jeopardizing citizens’ privacy.
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Artificial intelligence is taking over us!

Will the world champion of Go get beaten by a computer soon?

I try to follow the news about machine learning and artificial intelligence. Recently I saw some interesting news! A computer managed to beat the European champion of Go! It’s not yet the World Champion, but we’re getting there quickly: the challenge is planned for March !
Go is harder than chess, and the concensus among scientists was that this was going to happen in a dozen of years only. The game of Go has long been viewed as the most challenging of classic games for artificial intelligence owing to its enormous search space and the difficulty of evaluating board position and moves. The program combines the recent developments in deep learning and an intelligent research to be several rounds in advance of the other player.
This was published in Nature magazine here.

What about artificial intelligence in Poker?

Texas hold’em (also known as Texas holdem, hold ’em, or holdem) is a variation of the standard card game of poker. Games like Poker is a family of games that exhibit imperfect information, where players do not have full knowledge of past events. Whereas many perfect-information games have been solved since a long time (e.g., Connect Four and checkers), no nontrivial imperfect-information game played competitively by humans has previously been solved. But this has recenlty been solved too : a team managed to completely caracterise optimal strategies in all the possible configurations of the game (See « Heads-up limit hold’em poker is solved« ).

Should we worry?

This would certainly not reduce the attractiveness of those games for human being: it’s not because we invented cars that we stopped walking nor running. But the areas where human are still stronger that the machine tends to be reduced more and more. We still have a big adventage: the supercalculator in our brain is only consuming 50 W, which is 1 billion times less than our computers.
finger me Artificial Intelligence
But maybe the first intelligent species that the human will meet is one that he will create himself …

Head tracking : un concept à développer pour les jeux du futur?


Ok, maintenant, après avoir vu cette vidéo, imaginez vous qu’on applique ce concept dans les jeux de voiture ou les jeux de FPS ! Je suis certain que l’effet peut vraiment être terrible !

Si vous êtes développeur et que vous voulez tester ce système chez vous, et même éventuellement l’améliorer, Johnny Chung Lee donne quelques infos sur son site pour mettre en place ce système chez soi ! Il a développé son système avec C# et vous pouvez télécharger le code si vous le souhaitez sur son site !

Donc pour les non-anglophones, voici une petite traduction :

Pour lancer le programme DesktopVR que vous avez vu dans la vidéo :

  1. Connectez votre wiimote à votre PC via Bluetooth. Si vous ne savez pas comment faire ça, vous pouvez trouver les informations dans ce tutorial. On m’a dit que ça marche avec d’autres drivers Bluetooth, mais je n’ai pas testé moi-même.
  2. Téléchargez le programme d’exemple WiiDesktopVR. Lisez le fichier README concernant l’utilisation et la configuration du programme. Lancez le fichier WiiDesktopVR.exe dans le répertoire principal.

Bref, ça a l’air assez facile à mettre en oeuvre 🙂 Si vous testez n’hésitez à donner un feedback (j’ai pas windows, j’ai pas wine et j’ai pas de Wii … donc je sais pas tester 😛 )

Elive, linux léger et accessible basé sur Enlightenment

A quoi ça ressemble?

Pour vous illustrer un peu plus à quoi ressemble la distribution, je ne serais que trop vous conseiller de l’essayer chez vous. C’est un liveCD sur lequel vous pouvez démarrer et essayer. Seulement si ça vous plait il ne vous reste plus qu’à l’installer.

Mais je vous suggère déjà d’aller voir quelques screenshots sur les liens suivants :

Et je vous propose aussi une vidéo réalisée par le responsable du projet.


Comment fonctionne le projet Elive?

Si vous allez faire un tour sur le site internet d’Elive, vous constaterez que le téléchargement de la distribution n’est pas gratuit. En effet, le développeur principal de la distribution travaille à plein temps dessus et dès lors, même s’il ne tire pas d’argent de son développement, il aimerait pouvoir couvrir les frais de gestion de son serveur et autres frais divers. C’est la raison pour laquelle il propose aux gens de faire un don qui peut varier entre 5 et … USD de manière à financer un peu son projet. Cet argent n’est donc pas demandé dans le but d’une mauvaise intention. Le projet est toujours OpenSource et libre, mais c’est vraiment une manière pour lui de couvrir ces frais.

Cependant, si vous ne souhaitez pas payer ces 5 USD pour obtenir le CD de Elive, l’autre solution est de promouvoir cette distribution en en parlant sur votre site web. Comme le développeur d’Elive n’a pas envie de perdre son temps à faire de la promotion et de la publicité pour Elive, il préfère donner des téléchargement gratuits aux personnes qui s’occupent de faire cette promotion à sa place. Allez voir les détails sur le site d’Elive.

Dernière possibilité pour obtenir une version d’Elive c’est de ne pas télécharger une version stable, mais de télécharger une version en développement. Alors vous prenez le risque d’être confronté à des bugs ou des problèmes car une version en développement n’est jamais parfaite, mais ça sera à vous de régler ces problèmes.

Avantages

Leger : Minimum Requeriments: The minimum hardware for running Elive is a 100 Mhz CPU and 64 MB of RAM, but the minimum recommended hardware is 300 Mhz and 128 Mb of RAM. You don’t need any special graphic card or 3D acceleration to run Elive.

Stable : Basée sur Débian : Dès lors Elive est équipée des packages récents (utilisant ses propres ports) et de la stabilité par la même occasion. Elive remplace les packages Debians avec des versions personnalisées si nécessaire.

Rapide : L’interface graphique de Enlightenment propose un bureau rapide, leger et un environnement très flexible qui malgré tout offre une interface agréable et conviviale ainsi que toutes les ressources nécessaires pour lancer vos applications au jour le jour. Un des principaux objectifs d’Elive est d’être rapide et facile d’utilisation. Vous pouvez contrôler votre PC comme vous l’avez toujours fait avec beaucoup de facilité.

Version optimisée pour les Macbook

Un autre élément particulièrement intéressant pour les utilisateurs de Macbook c’est que le projet d’Elive se penche aussi sur la conception d’une distribution entièrement optimisée pour l’installation sur un Macbook. Si vous êtes un heureux possesseur de Macbook, vous n’êtes sans doute pas sans savoir que certains éléments sont parfois plus compliqués à configurer que sur des PC traditionnels. L’intérêt donc d’avoir une distribution basée sur Debian et complètement optimisée pour votre matériel est particulièrement intéressant.

De plus l’interface de Enlightenment ressemble assez fort à celle de Mac OS X 10.4, donc vous ne serez pas perdu en installant ce nouveau système d’exploitation. La version stable pour Macbook n’est cependant pas encore sortie, mais elle est en cours de développement, et si ça vous intéresse, tenez vous au courant des évolutions !

Petit geste de l’auteur

J’ai personnellement reçu quelques clés de téléchargement, donc dans la mesure des stocks disponibles, si vous répondez en commentaire à ce billet en me demandant une clé, je vous répondrais par mail en vous en donnant une.

[Tutorial] Linux on USB disk with your Mac OS X

Prérequis

Avant de commencer, assurez vous que vous êtes en possession d’un disque dur externe sur lequel vous allez devoir repartitionner, donc faites un backup préalable. Vous devez aussi avoir installé un système vous permettant de choisir votre secteur de démarrage. En ce qui me concerne, sur OS X 10.4 j’utilise rEFIt mais sur Léopard j’ai cru comprendre qu’on peut aussi utiliser BootCamp sans trop de problèmes.

L’important est que vous puissiez choisir de démarrer sur le CD d’installation ou sur le disque connecté en USB.

En résumé vous avez donc besoin de :

  • DVD d’installation OpenSUSE 10.3 (disponible ici)
  • Votre disque USB
  • C’est tout

NB : sur mon MacBook le touchpad de la souris n’était pas détecté au premier démarrage, donc il peut être intéressant pour les utilisateurs d’un MacBook d’avoir une souris USB. C’est plus agréable. Mais on peut tout faire avec le clavier, donc pas de panique !

Demarrage

  1. Téléchargez et installez rEFIt sur votre système OS X. Ce programme est un menu de démarrage similaire à GRUB sous linux et qui va vous permettre plus tard de choisir de démarrer sur Linux/Mac OS X/…
  2. Eteignez votre ordinateur ou redémarrez le après avoir préalablement mis le DVD d’installation d’OpenSUSE dans votre lecteur.
  3. Une icône linux devrait apparaître à l’écran rEFIt au démarrage de votre ordinateur si rEFIt a été correctement installé. Avez les flèches sélectionnez linux et cliquez sur la touche « entrée ».
  4. Vous arrivez maintenant nez à nez avec le GRUB du DVD d’installation. Ici vous pouvez sélectionner votre langue grâce à la touche F2 et votre résolution grâce à la touche F3. Ensuite passez à l’étape de l’installation en appyant sur « entrée ».

Installation du système sur votre clé

Ca y’est, vous êtes dans le système YAST, le système d’installation de OpenSUSE. Vous allez à présent pouvoir poursuivre les étapes d’installation classique jusqu’à ce que YAST vous fasse un grand résumé de ce que vous avez choisi d’installer ! C’est ici que l’installation deviens un peu plus particulière.

D’abord en ce qui concerne le partitionnement. Vous devez bien vous assurer que le système OpenSUSE ne s’installe pas sur votre disque dur principal sur lequel vous avez Mac OS X sinon vous allez tout éffacer, ce qui n’est surement pas votre but. Si votre disque externe est le seul disque connecté, normalement le nom du disque correspond à /dev/sdb. Je part donc du principe que votre disque s’appelle comme ça dans la suite de mon exposé, à vous de corriger si c’est différent sur votre machine.

Partitionnement

Passons au choix du partitionnement. Celui-ci est un peu particulier dans le cas d’une installation sur disque USB. Voici la configuration que je recommande :

sdb :

  • sdb1
    • partition primaire
    • taille = 200Mo (si vous installez sur une clé USB, n’hésitez pas à descendre jusqu’à 50Mo sauf si vous savez que vous allez travailler avec plusieurs noyeaux en paralèlle)
    • point de montage : /boot
    • système de fichier : ext3
  • sdb2
    • partition etendue
    • taille = 40 Go (j’ai un disque de 80Go donc je me permet de compter large)
    • Cette partition sera votre partition de base pour votre linux
  • sdb3
    • partition primaire
    • taille = reste de votre disque
    • aucun point de montage
    • système de fichier : vfat
    • Cette partition me permettra d’échanger des fichiers avec windows par exemple
  • sdb5
    • partition logique sur sdb2
    • taille 2 Go
    • système de fichier : swap
  • sdb6
    • partition logique sur sdb2
    • taille : 15 Go (j’ai compté large car je veux vraiment pas être limité)
    • point de montage : /
    • système de fichier : ext3
  • sdb7
    • partition logique sur sdb2
    • taille : Ce qui reste sur la partition etendue sdb2
    • point de montage : /home
    • système de fichier : ext3

NB : Ce partitionnement est un choix qui me semble adapté à un disque dur de 80 Go. Si vous installez votre système sur une clé USB de 4 Go ou même moins, voici en vitesse le partitionnement que je ferais (sans avoir testé) :

  • sdb1 (partition primaire, /boot, 50Mo, ext3)
  • sdb2 (partition etendue sur le reste de l’espace disponible)
  • sdb5 (swap de 256 Mo voir 512 Mo si vous pensez avoir besoin de plus)
  • sdb6 (partition logique, /, reste de la taille dispo, ext3)

Configuration du secteur d’amorçage

Voici un autre point très important si vous souhaitez un système qui fonctionne (c’est toujours mieux hein? Admettez-le 😉 )

Avant de continuer votre installation, toujours à l’écran de résumé de votre installation, cliquez sur « expert » pour visualiser en détail la sélection des éléments qui seront installés. Là vous pouvez voir une sous-section dédiée à l’amorçage. Voilà ce que nous avons besoin de configurer. Cliquez dessus.

Vous pouvez constater que c’est GRUB qui sera installé sur votre système. Cependant ATTENTION, GRUB ne doit pas être installé n’importe où au risque de foutre en l’air votre secteur de démarrage et ne plus pouvoir accéder à Mac OS X.

Décochez les différentes cases de la fenêtre et n’en cochez qu’une seule : « Amorcer le système à partir d’une partition sélectionnée ». Ensuite, dans le menu déroulant, choisissez la partition que vous avez choisi comme /boot. Dans mon cas ce sera donc /dev/sdb1.

C’est bon, on peut lancer l’installation

Ok, maintenant que vous avez configuré ces deux points important vous pouvez installer le système sur votre disque USB.

Ceci va prendre un certain temps, allez vous faire un café où un thé plutôt que de restez scotché à votre ordi en train de lire ce tuto … vous en avez au moins pour une petite demi-heure de pause 😉

Installation de base terminée

Ca y’est, tout est installé, mais rien n’est configuré. Le système va automatiquement redémarrer votre ordinateur.

Comme le système a configuré votre GRUB de manière « traditionnelle », vous n’arriverez pas à démarrer sur votre disque USB directement. Ne vous en faites pas, c’est normal. Démarrer sur le disque d’installation à nouveau :

Choisissez dans le menu GRUB du DVD d’installation la même chose que tout à l’heure : « installation ». Cliquez sur suivant 2 ou 3 fois, et l’écran d’installation vous demande si vous voulez ré-installer le système … évidement que non :

  • Amorcer le système déjà installé

Voici là page où vous pouvez normalement choisir de démarrer sur le système déjà installé. Sauf que sur ce screen la case n’est pas disponible (la dernière case en bas) :

Ca y’est, cette fois ça se lance et vous pouvez passer à la seconde partie de l’installation :

Ca y’est, SUSE est lancé, configuration de GRUB

Vous avez votre session ouverte? Voici ce que vous devriez avoir :

Ok? Super ! Nous voilà donc déjà avec une installation fonctionnelle sur votre disque externe. Cependant, il y a toujours un truc qui coince car vous n’arrivez toujours pas à démarrer sur votre disque USB car GRUB n’est pas configuré correctement.

Comme votre disque externe reçoit le même nom qu’un disque SATA et que le disque du MacBook est aussi un disque SATA vous avez donc le fichier /boot/grub/device.map qui vous dit

(hd0)    /dev/sda
(hd1)    /dev/sdb

MAIS (et là est l’astuce) : lorsque vous démarrez sur votre disque externe, GRUB observera le disque externe comme étant à l’emplacement /dev/sda (hd0) et le disque interne comme /dev/sdb (hd1). Ce qui est exactement l’inverse de ce qui se passe lorsqu’on démarre de manière classique sur son disque interne.

Vous devez donc éditer votre fichier /boot/grub/menu.lst et remplacer tous les hd0 par hd1 et vice versa. De plus, dans le futur si vous êtes amené à faire une mise à jour de votre noyeau et que le fichier menu.lst est modifié automatiquement, vous serez mené à ré-itérer cette manœuvre.

Une fois que c’est fait, vous pouvez enlever le DVD d’installation de votre lecteur et redémarrer votre MacBook pour voir si ça fonctionne au démarrage.

Configurer linux avec le matériel d’un MacBook 1ière génération

Dans mon cas, je possède un MacBook première génération, donc voici deux-trois éléments d’information pour le configurer correctement. Ceci dit, en fonction du hardware que vous possédez il sera peut-être plus pour vous d’aller voir dans la documentation d’OpenSUSE directement.

Configurer le clavier du MacBook

Si vous souhaitez avoir la touche « DEL » et « Alt Gr », créez un fichier nommé .Xmodmap dans le répertoire racine de votre profil utilisateur (/home/username) et ajoutez les deux lignes suivantes :

keycode 108 = Delete
keycode 116 = ISO_Level3_Shift
  • La touche entre « Pomme droite » et « home » sera votre touche delete
  • La touche « Pomme droite » sera votre touche Alt-Gr

Sinon, pour les autres touches j’avoue que j’ai été assez surpris et tout marche du premier coup :

  • Gestion de la lumière de l’écran : Fn + F1 et Fn + F2
  • Couper le son : Fn + F3
  • Diminuer le son : Fn + F4
  • Augmenter le son : Fn + F5
  • Home : Fn + flèche gauche
  • End : Fn + flèche droite
  • Page Up : Fn + flèche haut
  • Page Down : Fn + flèche bas

Faire fonctionner votre interface sans fil

La version actuelle de madwifi supporte désormais le chipset Atheros de l’interface sans fil des Macbooks d’Apple. Il vous suffit donc de télécharger la dernière version de madwifi (ici, puis de faire :

[bash]
tar xvfj madwifi-0.9.3.3.tar.bz2
cd madwifi-0.9.3.3/
make clean
make
su
make install
modprobe ath_pci

Maintenant vous devriez être capable de voir les réseaux sans fil dans votre logiciel « network manager » ou via les commandes de wireless-tools

[bash]
su
iwconfig

Votre interface s’appellera ath0 ou quelque chose du genre.

Configuration de votre touchpad « à la Mac »

En tant que root, allez modifier le fichier /etc/X11/xorg.conf (faites le après avoir configuré votre serveur graphique avec SAX sinon SAX supprimera toutes les modifications que vous aurez apportées au fichier.

Section "InputDevice"
  Identifier      "Mouse[2]"
  Driver          "synaptics"
  Option          "SendCoreEvents"        "true"
  Option          "Device"                "/dev/psaux"
  Option          "Protocol"              "auto-dev"
  Option          "LeftEdge"      "100"
  Option          "RightEdge"     "1120"
  Option          "TopEdge"       "50"
  Option          "BottomEdge"    "310"
  Option          "FingerLow"     "25"
  Option          "FingerHigh"    "30"
  Option          "MaxTapMove"    "220"
  Option          "TapButton1"    "1"
  Option          "TapButton2"    "3"
  Option          "TapButton3"    "2"
  Option          "MinSpeed"      "0.79"
  Option          "MaxSpeed"      "0.88"
  Option          "AccelFactor"   "0.0015"
  Option          "SHMConfig"     "on"
EndSection

Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi ajouter ces options ci dans la section InputDevice :


  Option       "HorizTwoFingerScroll" "1"
  Option       "VertTwoFingerScroll" "1"

Ensuite dans la SectionServerLayout faites :

#  InputDevice  "Mouse[1]" "CorePointer"
  InputDevice  "Mouse[2]" "CorePointer"

Après avoir redémarré votre serveur X (un simple logout – login suffit) vous devrez pouvoir profiter des modifications apportées. Vous pouvez aussi trouver plus d’informations avec : man synaptics

En résumé, voici les choses qui ont été configurées sur votre touchpad :

  • clic gauche avec un doigt
  • clic droit avec 2 doigts
  • clic milieu avec 3 doigts
  • scroll horizontal et vertical avec 2 doigts

Conclusion

J’espère que cet article vous aura éclairé et permis de comprendre comme s’y prendre pour installer une distribution linux sur un disque USB à l’aide d’un Macbook.

Je sais que cette installation est très spécifique, mais elle devrait pouvoir s’adapter à tous les possesseurs d’un MacIntel. De plus, je pense que l’installation d’une autre distribution doit suivre approximativement la même technique.

Références complémentaires

Configurer son interface sans fil avec wireless-tools

Observer ce qui se passe sur votre interface wifi

Avant de mettre les mains dans le cambuis, il est toujours intéressant d’avoir une vitrine sur ce qui se passe plus concrètement sur votre interface. Dès lors la commande qui va bien c’est

[bash]
iwevent

Lancez un terminal avec iwevent de manière à avoir un log de ce qui se passe

Detecter les réseaux disponibles

Vous disposez sans doute de plusieurs interfaces (au moins d’une interface loopback) mais toutes les interfaces ne gèrent pas nécessairement le wifi (la loopback entre autre). Donc inutile de demander à ces interfaces de scanner le réseau et trouver les réseaux disponibles.

Ici la commande à utiliser c’est :

[bash]
iwlist eth1 scan

NB : je considère que mon interface sans fil est eth1

Cette commande va vous permettre d’afficher les différents réseaux auxquels vous pouvez vous connecter ainsi que vous donner des informations intéressantes sur ces réseaux comme :

  • essid
  • canal / fréquence
  • encryption
  • adresse mac du point d’accès (du routeur en général)
  • mode de fonctionnement

NB : il est cependant nécessaire de souligner que certains réseaux cachés peuvent ne pas s’afficher (au cas où la trame broadcast est désactivé). Dans ce cas vous devrez utiliser d’autres techniques pour détecter ces réseaux. Je vous conseille l’outil Kismet qui est très efficace pour ça, mais je ne vais pas le développer ici.

Connexion en mode Managed

Maintenant passons à la connexion en tant que tel. Vous avez lancé iwevent dans un terminal à part, lancer un nouveau terminal où vous allez lancer les prochaines commandes !

  • Désactiver les interfaces que vous n’utiliser pas (dans mon cas, eth0 est une interface filaire que je vais désactiver car je veux utiliser mon interface sans fil eth1)
[bash]
sudo ifconfig eth0 down
sudo ifconfig eth1 up
  • Se connecter au bon réseau avec la bonne fréquence :
[bash]
sudo iwconfig eth1 mode managed channel $CHAN essid $ESSID

Dans mon cas je n’ai pas de clé d’encryption donc je ne précise pas l’argument « key ».

  • $CHAN est le numéro du canal utilisé que vous avez trouvé grâce à iwlist
  • $ESSID est le nom du réseau auquel vous souhaitez vous connecter. Même si le essid que vous utilisé proviens d’un réseau caché, cela ne change rien à la manipulation.

Si tout se passe bien, vous devriez observer dans le terminal de iwevent que vous êtes correctement authentifié. Afin de vérifier que vous l’êtes bel et bien, tappez la commande iwconfig et comparez l’adresse MAC se trouvant dans l’argument cell avec l’adresse se trouvant dans le iwlist eth1 scan que vous avez fait au début.

  • Terminer la connexion pour pouvoir accéder au réseau. En effet, jusqu’à maintenant vous avez juste la couche physique entre vous et le point d’accès qui est configurée. Ceci ne suffit pas pour vous permettre d’accéder au réseau. Vous allez devoir demander au serveur DCHP de vous attribuer une adresse IP :
[bash]
sudo dhclient eth1

voilà, normalement maintenant votre adresse IP est configurée et vous avez normalement accès au réseau local sans problème.

Enjoy 😉

Se connecter en mode Ad-Hoc

Petit rappel de nouveau pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que le mode adhoc? Il s’agit d’une connexion entre ordinateur qui ne nécessite pas d’infrastructure autour. C’est à dire que les ordinateurs se connectent directement l’un à l’autre. On pourrais faire une analogie avec un cable rj45 croisé entre deux ordinateurs. Sauf que dans le cas d’une connexion ad-hoc, on peut communiquer directement avec tous les ordinateurs qui se trouvent dans le rayon de puissance d’émission.

Nous n’avons donc pas de point d’accès (access point) dans le réseau, et de ce fait, nous n’avons pas non plus de serveur DHCP pour attribuer les adresses IP. Il y a donc une contrainte en plus, c’est que nous devrons configurer l’adresse IP à la main.

  • Activation de l’interface sans fil :
[bash]
sudo ifconfig eth0 down
sudo ifconfig eth1 up
  • Lancement du réseau ad-hoc (soit vous vous connectez à un réseau existant, soit vous créer un nouveau réseau. La manipulation est la même car il n’y a pas de point d’accès) :
[bash]
sudo iwconfig eth1 mode ad-hoc essid $ESSID channel $CHAN key off ap off

Je fais ici le choix de vous donner la commande avec le mode d’encryption désactivé car je pars du principe qu’il est rare qu’en mode ad-hoc on en ait besoin. Mais dans ce cas, vous pouvez bien sur adapter la commande. Vous remarquerez aussi que j’ai désactiver le point d’accès, en effet, ici vous n’avez pas de point d’accès car nous sommes en mode ad-hoc.

  • Configuration de son adresse IP :
[bash]
sudo ifconfig eth1 172.16.0.X up

Veuillez à ne pas utiliser une adresse déjà utilisée. Je vous conseille d’utiliser le préfixe 172.16.0.0/16 car il est dédié aux réseaux locaux donc vous êtes certains de ne pas rencontrer de problèmes. Vous pouvez aussi utiliser le préfixe 192.168.0.0/16 qui est aussi réservé pour les réseaux locaux. A votre guise 😉

Conclusion

Voilà, je pense que vous avez maintenant toutes les informations pour faire fonctionner convenablement votre interface wifi à l’aide des wireless-tools. Je n’aborde pas ici tous les problèmes liés aux réseaux encryptés tel les réseaux avec un clé WEP ou WPA car ce n’est pas mon but et que je ne suis pas assez spécialiste en la matière pour ne pas prendre le risque de dire des conneries.

Si vous avez des problèmes pour configurer votre interface wifi à la main, n’hésitez pas à poster des questions ici. Je souligne quand même (car moi j’ai perdu plusieurs jours avant de comprendre) que toutes les interfaces wifi ne supportent pas le mode Ad-Hoc. Certaines cartes un peu trop vieilles peuvent poser des problèmes pour ce genre de configurations.

Note supplémentaire pour les possesseurs de Mac OS X

Pour les possesseur d’un ordinateur sous Mac OS X qui n’ont malheureusement pas la chance d’avoir wireless-tools à disposition, il existe un autre outil qui fonctionne assez bien et qui permet le même genre de manipulations qui s’appelle airport mais qui n’est pas configuré par défaut dans votre PATH. Il vous faudra donc faire un petit :

cd /usr/sbin
sudo ln -s /System/Library/PrivateFrameworks/Apple80211.framework/Versions/Current/Resources/airport

Pour que la commande apparaisse dans votre PATH. Ensuite un petit airport --help vous donnera les infos nécessaires pour apprendre à jongler avec cet outil.

$ airport --help
airport AirPort v.455.2 (455.2.0)
Supported arguments:
 -a        --autojoin           Join first available, trusted network from list
 -p        --applyprefs         Apply settings as currently configured via System Preferences
 -u        --updateprefs        Examine network preferences and repair if necessary
 -z        --disassociate       Disassociate from any network
 -i[<arg>] --ibss=[<arg>]       Create IBSS
 -f<arg>   --file=<arg>         Use <arg> as airport preference file instead of
                                   /Library/Preferences/SystemConfiguration/com.apple.airport.preferences.plist
 -m<arg>   --mac=<arg>          Use <arg> instead of current AirPort MAC Address
 -x        --xml                Print info as XML
 -o<arg>   --oldencrypt=<arg>   Encrypt string <arg> with Panther-style encryption
 -s[<arg>] --scan=[<arg>]       Perform a wireless broadcast scan.
                                   Will perform a directed scan if the optional <arg> is provided
 -r<arg>   --repeats=<arg>      Repeat the command the specified number of times
 -A[<arg>] --associate=[<arg>]  Associate to network.
                                   Will prompt for network name if arg is not specified
                                   and if necessary, for a password if the network is using WEP or WPA.
                                   The following additional arguments may be specified with this command:
                                  --bssid=<arg>     Specify BSSID to associate with
                                  --password=<arg>  Specify a WEP key or WPA password
 -I        --getinfo            Print current wireless status, e.g. signal info, BSSID, port type etc.
 -P<arg>   --psk=<arg>          Create PSK from specified pass phrase and SSID.
                                   The following additional arguments must be specified with this command:
                                  --ssid=<arg>      Specify SSID when creating a PSK
 -S        --showstack          Print the current list of known networks
 -c[<arg>] --channel=[<arg>]    Set arbitrary channel on the card
 -h        --help               Show this help