Open the door

Dans la série des chanteurs que vous ne connaissez sans doute pas, mais que vous devriez connaitre, permettez-moi de vous présenter un « grand » du monde de la musique des années 80. Vous connaissez surement Supertramp qui est une grande référence en la matière. Eh bien ici nous parleront d’un des membres de Supertramp qui a quitté le groupe vers 1983 pour faire route tout seul. Il s’agit de Rodger Hodgson qui était le pianiste de Supertramp (vous voyez le piano sur la montagne sous la neige, eh bien c’est son piano … heu … bon d’accord, rien à voir)

Je ne le connais malheureusement que trop peu car je n’ai qu’un seul album de lui. Mais ça ne m’empêche pas de l’apprécier et de vous le conseiller (l’album et le chanteur). Il fait sa musique tout seul, il chante tout seul … bref, il est assez terrible pour arriver à faire un résultat pareil. J’ai jamais été à un concert de lui, mais j’ai des amis qui y sont allés, et autant vous dire que ça déménage.

Cette fois je ne vous laisserais écouter qu’une seule de ses musiques … mais laquelle !! Cette chanson est vraiment dingue… Open the door. Ecoutez-la en regardant un coucher de soleil et réfléchissez au paroles ! Vous l’avez compris, j’adore cette chanson. Du grand art musical.


Alors vous en pensez quoi? Après bien sur il faut écouter tout l’album 😉

Un commentaire

  1. « Open the door » est magnifique

    Ce que tu écris, Greg, me donne envie- à mon tour- de partager ceci:
    http://fr.youtube.com/watch?v=mgkk0
    Musique superbe, écrite et chantée par Neil Diamond: « Jonathan Livingston Seagull » , « Be ».

    « Jonathan Livingstone Le Goéland ».
    Un conte animalier aux images sublimes qui ravira les amoureux de la nature et les amateurs de spectacle zen.

    L’histoire : de Richard Bach.
    Jonathan Livingstone est un goéland qui espère voler plus haut que les autres membres de son clan. Devant ses efforts incessants pour s’élever au-dessus de la masse, les siens le bannissent. Commence alors pour Jonathan un voyage initiatique qui lui permettra de se trouver lui-même…

    Le Film: Hall Bartlett (1973).
    D’une beauté à couper le souffle, « Jonathan Livingstone Le Goéland » bénéficie d’une photographie splendide et d’une réalisation luxueuse qui parvient à épouser le mouvement des oiseaux avec grâce. Touchant souvent au merveilleux, le film est une ode à la vie et à la Terre; c’est un poème aussi.

    … Alors comme ça, le sens de la vie consisterait à créer de l’énergie ? Après tout, la matière et les réactions qu’elle engendre provoquent des déflagrations d’énergie formidable, le big-bang à l’origine de l’Univers, la matière qui se décompose en atomes, en éléments qui se combinent à leur tour par une opération mystérieuse en des associations qui permettent la vie, capable de créer quelque chose de différent de la matière, de la Pensée, de l’Art et de l’Amour, en un cycle perpétuel de production d’énergie.

    Voilà pourquoi il semble si dangereux de rester immobile, de ne plus évoluer. Voilà aussi pourquoi, il est si important de bouffer des volcans, de vouloir imiter Jonathan Livingstone le Goéland qui continue sans cesse à perfectionner ses techniques de vol relatif jusqu’à effleurer le vol absolu: celui qui permet d’embrasser tout savoir, et lui fait finalement quitter le monde des phénomènes pour pénétrer le sublime.

    Grâce à la découverte de ce principe, Jonathan Livingstone va transcender l’espace et le temps et livrer ce précieux conseil : continuer à progresser, pour créer davantage d’énergie; pour continuer à faire advenir en soi, son humanité et transmettre à l’autre ce que l’on a découvert. :-))

    Barbara Harfouche.

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